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Teddy

“ Une fois je rêve d'une maison avec des enfants, des animaux, des chevals, un pré pour s'occuper des animaux.

Une fois j'ai rêvé, un cauchemar, des monstres, une personne avec des grands cheveux, un grand nez, qui criait, je vais te tuer, et moi je me cachais. Quand je cours, je suis fatigué, je m'arrête direct, j'arrive plus à respirer, j'essaie de tenir, je fais du judo, la dernière fois j'ai perdu deux combats à cause de ça, j'essaye de me rattraper. ”

C.A.T. de l'I.M.E.



Poursuivre la lecture d'André Breton à Saint-DizierRetour en ville.Le plan Masse, rapport du préfet Pisani en 1952.

Affiche 8 : PAUL BERT

Elu député de l'Yonne en 1872, Paul Bert devient spécialiste des questions scolaires au sein de l'Union Républicaine. Il soutient activement la politique de Jules Ferry et devient ainsi, en pleine période d'élaboration des grandes lois scolaires, ministre de l'Instruction publique dans le grand Ministère Gambetta de novembre 1881 à février 1882. Il contribue à l'organisation des bataillons scolaires et crée une commision d'éducation militaire où siège Paul Déroulède, grand représentant de la littérature patriotique, et le peintre Detaille, illustrateur de ce dernier dans son récit de la guerre de 1870. Auteur d'un Manuel d'instruction civique, Paul Bert a été un fervent défenseur du culte de la patrie à l'école. Avec Jules Ferry, il est honoré dans les manuels d'histoire, comme dans l'édition 1916 du Malet : “ Ce sont eux qui ont fondé notre enseignement primaire obligatoire, gratuit et laïque”. Il fait partie des ministres “ dont la France républicaine doit garder le souvenir. ”

Il prononce un discours publié le 4 février 1882 dans le Manuel Général de l'Instruction primaire :

“Rappeler aux enfants les gloires de notre pays, leur en rappeler les héros, les enthousiasmes au récits de tant de faits de dévouement à la patrie et au devoir qui sont l'honneur de nos annales, les attendrir et les indigner en leur racontant et leur expliquant nos malheurs. ”

Dans son discours prononcé à la distribution des prix de l'Union Française de la Jeunesse le Ier mai 1880, il poursuit :

“ Restez Français ! Restez Français par l'esprit d'abord. Gardez le bon sens, la clarté, la bonne humeur, la gaieté, cette santé de l'âme. Ne laissez pas obscurcir votre esprit, qui se baigne joyeux en pleine lumière, par les brouillards, les mysticités fuligineuses, d'où qu'ils viennent, que ce soit de l'autre côté des Alpes ou de l'autre côté du Rhin. Puis restez français par le sentiment national ; ne vous laissez pas envahir par je ne sais quel esprit de cosmopolitisme, toujours détestable, qu'il soit rouge ou qu'il soit noir...

Restez jeunes, vous le pouvez, mais à une condition : c'est que, pendant les premières années, vous aurez emmagasiné ces trésors de nobles sentiments que la jeunesse jette aux quatre vents du ciel ; c'est que vous les aurez accumulés et gardés précieusement, parfois profondément cachés, au dedans de vous-mêmes. Oui, quand sonnera l'heure du dévouement, l'heure de la lutte, l'heure de l'épreuve, tout cela renaîtra, reparaîtra, tout cela reverdira… ”

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FORET-NOIRE*

Out

Tendre capsule etc. melon

Madame de Saint-Gobain trouve le temps long seule

Une côtelette se fane

Relief du sort

Où sans volets ce pignon blanc

Cascades

Les schlitteurs sont favorisés

Ça souffle

Que salubre est le vent le vent des crémeries

L'auteur de l'Auberge de l'Ange Gardien

L'an dernier est tout de même mort

A propos

De Tubingue à ma rencontre

Se portent les jeunes Kepler Hegel

Et le bon camarade

*Rimbaud parle

André Breton in clair de Terre.





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